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L’affacturage, histoire d’un propriétaire d’entreprise
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« Je travaille comme un fou, je fais un bon chiffre d’affaires, mais les résultats financiers sont médiocres voire mauvais… »

 

J’ai souvent entendu cette litanie et plutôt que de chercher les motifs du mal, on recherche des fonds et on s’indigne quand les institutions financières refusent de nous accorder de nouveaux crédits.

 

La première question que je me poserais si j’étais vous : Est-ce que je connais mon affaire et est-ce que je comprends la signification de ces termes assez rébarbatifs : fonds de roulement et profit brut, est-ce que je sais lire mon bilan ?

 

Qu’est-ce qui fait que l’administrateur d’une PME, malgré ses efforts et un très bon chiffre d’affaires, n’arrive pas à en tirer les profits estimés : une absence d’outils de contrôle qui se traduit par un manque criant de liquidités, la pression de la banque, celle des fournisseurs… et c’est l’angoisse ! LA DESCENTE aux enfers !

 

On commence donc par se calmer et on cherche l’origine du mal et ce mal, vous le trouverez dans vos ratios : ratio de la main d’œuvre, pourcentage de consommation de matière première, calcul du prix de revient, ratio du profit brut. Et ce dernier ratio, s’il est inférieur à 35%, vous dira où trouver le vrai problème.

 

Une fois que le mal est identifié, on peut se rendre chez son banquier avec un plan de redressement très solide, mais si le lien de confiance est rompu, alors il faudra se tourner vers d’autres formes de financement dont le plus commun est l’affacturage : c’est une méthode de financement et de recouvrement de créances pouvant être utilisée par une entreprise et qui consiste à confier à un organisme tiers (un établissement de crédit spécialisé) la gestion de ses créances afin d’en obtenir, entre autres avantages, un remboursement anticipé.

 

Le procédé est simple et le déboursé des fonds est rapide. Cependant, l’affactureur va chercher un intérêt minimum de 1.5% par mois ou 18% par an. C’est très dispendieux ; c’est pour cela que ce mode de financement ne saurait excéder une période de 12 à 24 mois, le temps nécessaire pour vous remettre sur les rails.

 

Nous sommes à votre entière disposition pour vous aider à extirper le mal qui ronge vos affaires et à remettre de l’ordre au sein de votre entreprise, vous permettant de redevenir bancable et d’obtenir les fonds nécessaires à votre développement et à votre expansion et ce, … aux meilleures conditions possibles.